
test ce matin et le verdict implacable: asthme à l' effort. Lors du test de ce matin où il me semblait pas être gêné, j' avais quand-même une perte de 12% de capacité respiratoire. Bref, d'après le docteur, me voilà atteint d'une maladie propre aux sportifs de haut niveau. Super! J'ai les mêmes târes que les sportifs de haut niveau, reste plus qu'à avoir les mêmes résultats. Une broutille quoi. Malgré tout, je me vois quand-même un peu rentrer dans ce monde hyper-médicalisé d' un sport où on jongle avec des AUT (authorisations à utilisation thérapeutique) et je ne suis pas sûr de vouloir en faire partie. Je suis plutôt d'avis d'arrêter les frais: si le corps ne veut pas suivre, autant arrêter? Mens sana in corpore sano, mais quand le sport attaque le corps plutôt que le protéger, que faire?
A court terme, je me concentre sur le marathon de Paris, avec l'aide de Ventolin et autres produits bronchodillatatoires, mais à long terme je me pose quand-même des questions quand à mon activité sportive. Less is more????