22 novembre 2007

2008


Pour les distraits qui ne connaissent pas encore le plat de résistance de ma saison 2008; c'est affiché en grand en haut de ce blog. Mais point de plat de résistance sans entrée  et je me suis donc inscrit au marathon de Paris. Départ le 6 avril prochain. Certains (entre autres l'individu rencontré à la machine à café dans le blog précédent)pensent qu' un marathon pour un triathlète, ç'est un piece of cake, un amuse-gueule. On verra bien que vers le 35ème km j' aurai effectivement une sale gueule, mais elle sera sans doute guère amusante. Car si on commence à courrir frais comme une rose, l'intensité de l' épreuve est autrement plus élevée que pendant un triathlon.  Mais on y est pas encore. Avant ça, on devra (ré)habituer les gambettes à bouger. C' est un exercice que la plupart des sportifs connaissent mieux sous le nom entraînement. Certains attrapent des boutons en entendant ce mot, d' autres tombent dans un délire proche de l' orgasme ultime. Il y a un juste milieu; on arrête d' écrire des âneries dans son blog, on chausse ses joggings, on allume la lampe frontale (fait noir en forêt à cette heure) et c' est parti.
ciao!