14 novembre 2006

cave canem


Dimanche matin, Ottenburg. Je le vois déjà arriver de loin, droit à travers les champs. Son propriétaire: 200m plus loin. Ce n' est pas la première fois qu' un chien vienne aboyer juste à côté de mon vélo et je continue donc tranquillement mon chemin. Mais cette fois, après 100m le molosse saute et me pousse dans le fossé. Je me retrouve les 4 fers en l' air, sous mon vélo. Le propriétaire, lui, continue tranquillement sa promenade. Arrivé à ma hauteur il me lance: "il est gentil, vous savez..." C' est vrai, il ne m' a pas mordu, juste renversé.
Pour le reste, pas un mot d' excuse, même pas un geste pour calmer son chien.
Résultat des courses pour moi; un cuissard déchiré et retour à la maison les fesses à l' air. (Heureusement masqué par la boue ;-)